Unboxing – Collector du jeu Switch Dordogne par Pix’n Love
25 février 2025Dordogne est un jeu d’aventure narratif sorti le 13 juin 2023 et développé par le studio Un Je Ne Sais Quoi. En plus de présenter une direction artistique atypique, avec des aquarelles peintes à la main, le titre édité par Focus Entertainment est aussi une expérience émotionnelle hors du commun : une ode à l’enfance. Il me fallait donc obtenir une édition physique de ce chef-d’œuvre vidéoludique. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque l’éditeur Pix’n Love annonça une édition physique et, plus encore, une édition collector switch. C’est cette dernière que je vous présente aujourd’hui.
« Article réalisé à partir d’une édition collector acheté par mes soins pour ma propre collection »
Un écrin sur mesure
On peut remarquer dès l’emballage que rien n’a été laissé au hasard pour ce coffret Deluxe « Souvenirs Box » Nintendo Switch, limité à 300 exemplaires. En effet, même l’emballage en carton qui contient la valise et les vinyles respire la Dordogne ! Je possède d’ailleurs le certificat numéro 103/300. Un futur chiffre porte-bonheur ? Qui sait !
L’édition collector
Comme je vous le disais en introduction, j’ai pris l’édition Nintendo Switch et c’est donc celle-ci que nous allons déballer progressivement ensemble. Allez, c’est parti, on ouvre ce mystérieux carton à pizza qui sent bon les goûters de notre enfance.
On déballe ensemble
Le carton à pizza
Tout d’abord, on retrouve dans la boîte cartonnée le double vinyle signé par Supernaive, puis la boîte collector en carton rigide du jeu, qui reprend la forme de la valisette de l’héroïne. Vous noterez au passage que même le cachet de la boîte est aux couleurs du jeu.
Le double vinyle présente une pochette Canson qui évoque le matériel de dessin. Il est orné de quelques dessins à l’aquarelle. À l’intérieur, on retrouvera 2 vinyles de couleur turquoise.
La valisette
Ensuite, on retrouve la valise de la jeune fille. En l’ouvrant, on est accueilli par le jeu, puis l’artbook, puis les lithographies, et enfin une série d’autocollants inspirés de ceux qu’on récolte dans Dordogne.
Le jeu se présente dans un boîtier classique, mais a la particularité de posséder une jaquette réversible. Un seul reproche : pour un éditeur français, je ne comprends pas pourquoi l’anglais est mis à l’honneur dans les titres.
L’artbook, qui fait aussi office de certificat numéroté, est massif. Il présente 256 pages de contenu et je vous invite à lire notre chronique pour en découvrir le contenu. Seul détail agaçant : il présente des traces d’encre et une corne en bas. La boîte en carton et la bulle n’auront malheureusement pas évité les dégâts.
Enfin, c’est avec plaisir qu’on regarde les lithographies qui rappelleront à nos bons souvenirs de grands moments du jeu. Tout comme les autocollants.
Résumé du contenu
Il est grand temps de faire le bilan de cette édition collector. Voici donc ce qu’elle contenait en détails :
- Un jeu switch avec jaquette réversible
- Un certificat numéroté ( 300 exemplaires )
- Un arrbook de 256 pages
- Un double vinyle signé par le groupe Supernaive
- 4 lithographies.
- Une planche de stickers issues du jeu
- Une boîte cartonnée
- Un emballage cartonné personnalisé
Focus sur l’artbook
L’artbook « making-of » est un véritable petit bijou. En plus de nous présenter les divers croquis, dessins conceptuels et aquarelles, il revient sur l’ensemble du cheminement qui a permis la création du jeu. C’est une véritable immersion au cœur de l’équipe de Un Je Ne Sais Quoi. Je vous invite d’ailleurs à lire ma chronique qui revient en détail sur son contenu.
Mon avis
Vendu 149,90 €, on peut dire que c’est un coffret collector qui ne se moque pas de nous par son contenu généreux. Si vous achetiez chaque élément à part, vous en auriez pour autant, voire plus (oui, c’est presque possible). L’artbook, quant à lui, vous permettra de profiter pleinement du jeu et de son message, tandis que les vinyles raviveront des souvenirs. De plus, c’est aussi un très bel objet de décoration pour une gameroom.
Seules ombres au tableau qui m’auront quand même fait grincer des dents pendant le déballage : des pochettes de vinyles déchirées, un artbook taché et cogné, et enfin une boîte avec les titres principaux en anglais ! Malgré l’emballage bulle, il y a eu de la casse.
