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Avis manga – Kill blue – T5 – La fin de l’école ?

Temps de lecture : 2 minutes

Le tome 5 de Kill Blue est sorti le 2 juillet 2025 chez l’éditeur Crunchyroll. Mélange entre Detective Conan et Sakamoto Days, le titre de Tadatoshi Fujimaki parvient il à nous convaincre sur la durée ? La réponse dans cet avis sur le tome 5 de Kill Blue.

« Avis réalisé à l’aide d’une version numérique fournie par l’éditeur que nous remercions .»

Résumé

Maï Otohime, une nouvelle licorne, a jeté son dévolu sur Jûzô. Avec pour objectif de séparer le faux couple, elle les défie, Noren et Lui, sur son terrain de prédilection, l’eau, lors d’une compétition de surf. Mais tout se complique lorsque l’héritière commence à s’interroger sur la nature de ses sentiments envers Jûzô : serait-ce de l’amour? Entre mises au point et entraînement intensif, le jour du challenge approche à grands pas. Qui le remportera?

Résumé éditeur

Kill blue T5 : Avis & critique

Le tome 5 de Kill Blue reprend là où on avait laissé Jûzô et Noren : en pleine compétition de surf. Si l’intérêt principal de ce chapitre est de questionner les sentiments des différents protagonistes — notamment Noren, Jûzô et Mai — et de mettre en évidence les problèmes d’adolescents face à leur premier amour. Il faut constater que cette séquence se présente plus comme un ventre mou du manga qu’autre chose. Et cela malgré une révélation quelque peu troublante mais intéressante pour la suite concernant Noren, la jeune protégée de notre assassin quadra redevenu collégien.

Heureusement, la deuxième partie du tome rattrape l’ensemble en revenant au premier enjeu du manga. Elle nous permet de plonger à nouveau dans le monde des assassins et promet des affrontements intéressants. En effet à force d’affrontements, Jûzô a laissé trop de traces de son passage, et il attire l’attention de certains de ses camarades en plus d’autre tueur. Pour s’en sortir face aux assassins de Jardin, il va devoir choisir entre révéler son identité ou abandonner ses camarades. Un choix cornélien pour lui qui adore tellement l’école.

En bref, Kill Blue reste constant et oscille entre moments tranche de vie, problèmes d’adolescents et humour, même si ce dernier se fait plus discret.