« Attrapez les tous ! World of Final Fantasy Maxima ! »

« Attrapez les tous ! World of Final Fantasy Maxima ! »

14 janvier 2025 Non Par Pampa Poulpe
Temps de lecture : 4 minutes

World of Final Fantasy Maxima un jeu vidéo de la saga Final Fantasy, développé par Square Enix sorti en octobre 2016 sur PlayStation 4 et PlayStation VITA. Une version dématérialisée arrivera par la suite sur XBOX et Nintendo Switch en 2018 avec l’ajout de « maxima » à son titre, sorte de gros DLC disponible via l’upgrade sur les anciennes versions. 

Et sinon c’est bien mignon mais…

Vous aimez Pokemon

Vous aimez les jeux kawaii en tour par tour ?

Alors ce Final Fantasy est fait pour vous !

Il était une fois…

Si l’histoire des jumeaux Lann et Reynn, amnésiques et vagabondants au cœur d’un monde appelé Grymoire tient sur un timbre, le bestiaire base de ceux des autres Final Fantasy est plutôt bien fourni ! Pas moins de 200 « myrages » sont disponibles. Du petit chocobo jaune ou noir en passant par le grand méchant Roi Tomberry pour finir par les très connus Ifrit ou Shiva.

Ça donne envie non ?

Et ce n’est pas fini !

De nombreux personnages de la série Final Fantasy apparaissent au cours de l’histoire !

En voilà la liste :

— Le fameux Guerrier de la Lumière et la princesse Sarah (Final Fantasy I

— La téméraire Refia (Final Fantasy III)

— L’invocatrice Rydia (Final Fantasy IV)

— Bartz, Boko le chocobo, Faris, Gilgamesh et Enkidu (Final Fantasy V)

—  Terra, Edgar et Celes (Final Fantasy VI)

— Cloud, Tifa (Final Fantasy VII)

— Shelke Rui (FFVII – Dirge of Cerberus)

— Squall, Quistis (Final Fantasy VIII)

— Bibi et Eiko (Final Fantasy IX),

— Tidus, Yuna et Rikku (Final Fantasy X)

— Shantotto (Final Fantasy XI)

— Lightning et Snow (Final Fantasy XIII

— Sherlotta (Final Fantasy Crystal Chronicles: Echoes of Time).

Sans compter les ajouts de Maxima bien sûr ! 

Firion, Cécil, Zack, Serah, Y’shtola et Noctis. 

En effet, dans la version Maxima du jeu, il est possible de prendre l’apparence des « champions » aka les héros cités plus haut ! (Imaginez Lightning portée par un Roi Tomberry avec une tortue sur la tête ? Pas besoin, je l’ai fait pour vous ! ⬇️)

Petit bémol en revanche, si vous décidez d’incarner un héros, vous ne pouvez pas les invoquer pour de grosses attaques qui font de gros dégâts ! Et qui dit Final Fantasy et grosse attaque dit… Sephiroth

Parlons un petit peu gameplay voulez vous ?

Si tour par tour est très classique au premier coup d’œil, la subtilité réside surtout dans le système de pyramide très ingénieux. 

Je m’explique !

Les deux héros ont deux formes interchangeables à volonté entre les combats. Lilipuce, le « chibi mode » et Gigantus, la taille dite normale. S’ajoute à chaque héros, deux monstres avec qui former une pyramide sur la base de Petit (p), Moyen (m) et Grand (G). Les PV, la force, les résistances et les faiblesses s’additionnent. Sympa non ?

Sous des airs bon enfant et simpliste, le système de capture, quand à lui, demande une certaine justesse parfois un brin agaçante. Oubliez la simplicité d’une banale barre de vie à descendre avant de canarder la pauvre créature jusqu’à la capture ! Ici chaque compagnon potentiel a sa propre façon d’être recruté ! (J’ai moi-même perdu quelques cheveux en essayant d’avoir certains myrages très capricieux !) Infliger une altération dégât spécifique, un type d’attaque d’un certain élément, soigner, épuiser, tout cela en plus de détruire la pyramide ennemie dont fait partie le monstre convoité. Eh oui, il faudra revenir dans certaines zones bien mieux préparé pour compléter à 100% le bestiaire ici. 

En bref ?

Maintenant, ai-je aimé jouer à ce jeu en 2025 ?

Clairement, oui !

Coloré, aux musiques, lieux mais surtout aux frimousses familières, avec un gameplay addictif, Word of Final Fantasy Maxima vaut clairement le détour, même presque 10 ans après ! Le jeu n’a pas pris une ride et reste un compagnon très agréable à garder au chaud sur la console. (Sous sa forme portable pour ma part.) Contrairement à un jeu assez similaire et bien plus récent, Dragon Quest Treasure, plus axé open world et très vite lassant, Maxima ne s’essouffle pas et offre même un New Game + avec une difficulté relevée qui laisse rêveur les plus gourmands.